Son parcours témoigne de son ambition
Depuis son lancement, la fintech Revolut n’a cessé de faire des prouesses. En 2021, elle a fait une levée de fonds de 800 millions de dollars. Suite à cela, le groupe pesait 33 milliards de dollars. Elle peut alors rivaliser avec les poids lourds de l’univers bancaire britannique.
En avril 2023, son application bancaire était la deuxième application la plus téléchargée du marché. Elle veut devenir une « super app » qui regroupe un grand nombre de services. Revolut veut être en Europe ce qu’est Alipay en Asie.
De nouveaux produits bancaires mis à la disposition des clients
Vous pouvez lire un avis sur Revolut afin de découvrir tout ce qu’elle met en place pour satisfaire ses clients. Afin d’avoir ses 100 millions de clients d’ici 2025, elle vient de lancer son crédit à la consommation. Voici quelques détails dudit crédit :
- un prêt entre 1000 et 50 000 euros ;
- sa durée est comprise entre 3 mois et 7 ans ;
- les taux d’intérêt vont de 3,9 à 21,12 %.
Dans les mois à venir, il sera même possible d’obtenir un crédit immobilier via la néobanque. Elle ajoutera également de nouvelles offres dédiées à l’épargne. La start-up veut se démarquer grâce à son offre complète et à un prix qui défie véritablement toute concurrence.
Son point fort ? Les économies d’échelle
Revolut est présente dans 31 pays européens et continue de s’implanter sur d’autres marchés, notamment le Brésil et la Nouvelle-Zélande. Elle peut donc compter sur des économies d’échelles.
La fintech britannique n’a que 7000 salariés. Ce nombre est inférieur à celui de nombreux concurrents qui n’ont pas encore 100 millions de clients. Avec plus de 145 000 collaborateurs dans le monde, le Crédit Agricole compte par exemple plus de 52 millions de clients. De son côté, Boursorama compte près de 5 millions de clients en France pour environ 900 salariés.
Les coûts supportés par Revolut sont ainsi maitrisés. Contrairement à certains géants de la fintech, même si ses clients rapportent peu d’argent, elle devrait pouvoir toujours dégager du bénéfice. D’ici 2025, elle envisage donc atteindre son objectif sans faire faillite.
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